Une plage, une nuit, deux maudites ... [PV Givra]

Ambre avait passé l'après midi dans la jungle, elle avait courru entre les arbres et elle c'était amusée à y grimper, et oui c'est instint de félin prenait le dessus, elle avait même chassé deux trois oiseaux, mais revenons à maintenant. Elle avait finit par arriver sur la plage. Une plage de sable doux, un lieu magnifique mais tout aussi dangeureux, c'était par là que pirates et corsaires arrivaient sur l'île. Elle soupira pas un navire à l'horizon seulement un magnifique couché de soleil. Ambre enleva ses légères chaussures et les laissa près d'un arbre. Elle marcha quelques minutes les pieds dans le sable encore chaud de la journée et elle s'approcha de l'eau. Elle était clair et belle, Ambre y plongea délicatement ses petits pieds et sourit, elle avait beau avoir le pouvoir félin il n'y avait aucune lois interdisant aux chats et autres de ne pas aimer l'autre. Elle ferma les yeux et respira l'air marrin, il lui rappelait le début de sa vie, quand elle était encore corsaire. Elle les rouvrit et déguaina son poignard, toujours aussi beau. Une larme coula sur sa joue, ce poignard était l'un des seuls souvenir qu'elle gardait de sa famille. Elle le rengea, secoua la tête et la releva, à quoi bon pleurer, ils devaient probablement la détester. Elle regardait l'horizon tentant d'oblier sa famille quand un petit bruit se fit entendre derière elle, bon d'accord il était vraiment tout petit, mais Ambre avait l'ouïe très dévolopé comme les félins. Elle se retourna rapidement et en profita pour se transformer en tigre blanc par la même occasion. Elle n'avait pas fais une seule transformation de la journée, elle avait seulement utilisé son agilité féline pour attraper son repas, elle pouvait encore se transformer une fois aujourd'hui ... Elle resta cependant les pieds dans l'eau, enfaite les petites vagues qui se cassaient sur ses molets de grands félins la rassuraient, oui l'eau la rassurait. Elle restait cependant très tendue et espéra ne pas tomber sur un homme, même s'il était maudit tout comme elle, elle détestait les hommes, elle les haissait plus que tout, elle avait trop soufert à cause d'eux.

Givra marcher depuis le petit matin. Elle avait traversé la camp en se cachant de tout le monde. De toute façon, a la vue d'une personne, elle s'enfuie en courant. Elle vivait dans son ombre. A chaque fois qu'elle marchait elle ne pouvait s’empêcher de regarder le ciel. Pourtant le ciel pour elle ne faisait pas penser a quelque chose de joyeux. Il lui rappelait son affreux passé et son avenir maudit a tout jamais. * Je n'ai jamais passé de merveilleux moment, et ce n'est pas près d'arriver * Elle entendit le bruit de l'eau. Enfin arrivé a destination. Elle descendit sur la plage ou elle contempla la mer un long moment. Puis, elle vit une silhouette près de l'eau elle s'en approcha et au moment ou elle la vit enfin, elle se retrouva en face d'un tigre blanc, qui était près a se jeter sur elle. Givra recula de plusieurs pas et se pris les pied dans une paire de chaussure et tomba a la reverse... Elle pleurait. Elle serai morte sans jamais vivre un seul heureux moment ? C'était une fin trop injuste... Elle chanté quelque phrase si bas qu'on ne put comprendre ce qu'elle disait :
- Mer, emporte ses souvenirs, Qui me fait pleurer, Je veut en finir, Mais seulement avec toi.

On ne pouvait entendre ce qu'elle disait. A la fin de sa phrase, une larme coula sur son doux visage et s'étala sur le sol, dessinant un signe...

Givra n'avait plus peur maintenant. Elle était rassurée. Elle écouta le tigre parlait et se dit que c'était une maudite, elle aussi. Quand elle regardait le félin, elle vit que l'animal regardait l'horizon avec un léger sourire. Peut-être que la mer avait une importance pour elle, que sa la réconcilier, Comme Givra :

- Je m'appelle Givra...

Répondit-elle a voix basse après le court discours du félin. Elle était plutôt timide. Elle se releva et contempla la mer une nouvelle fois. Elle ferma les yeux et écouta, le doux bruit des vagues, le bruit des écumes qui venait se sécher au soleil. Puis elle dit :

- A quoi te fait penser la mer ? Quelle importance a t-elle dans ta vie ?

Elle n'attendait pas une réponse directe, et pourtant elle voulait savoir la réponse au plus vite.

Givra regarda le félin chasser. Elle se transforma en mignonne chatte. Elle attrapa sa proie et revins vers Givra. Givra écouta la phrase d' Ambre :

- Tu sais, sa ne me dérange pas.

Mais la réponse a sa question était plutôt triste et négative. Givra se sentit coupable d'un crime qu'elle n'avait pas commis. Elle voulu se rattraper, mais pensa que sa empirerait. Alors elle se tue. Elle continua a regarder la mer et dit sans se rendre compte :

- C'est quelque chose de merveilleux la mer. Il n'y a rien de plus beau, a par la joie de vivre...

Givra s'arrêta. Elle n'avait pas la chance d'avoir au moins connu un jour heureux de sa vie. Enfin pour l'instant. Elle voulait tellement mourir mais elle ne le voulait pas. Dans sa tête, tout se bousculer. Mais quand elle voyer la mer, ses cauchemars et tristesse s'envoler avec les vagues :

- As-tu déjà vécu un jour heureux ? Pour l'instant.

[Vous comptez le continuer ?]

OUI

( désolé d'un long retard )
Givra laissa faire la chatte, elle l'écouta, perturbé surement... Elle n'avait pas de réponses rassurante à lui accorder, elle même n'en avait pas pour elle. La petite féline tremblait, impossible de décerner son mal, si bien enfouie dans sa mémoire... Givra n'eut que le réflexe, de caresser le doux poil d'un chat, comme elle pourrait le faire chaque jour. La maudite regardait l'horizon, ses yeux bleu scruter cette ligne impossible à toucher, et pourtant qui existe. Puis comme si une âme revenait à la charge dans sa tête, elle ne put dire que quelques mots perdu ici et là :
- Ma pauvre petite chatounette ...

Givra pensa longuement, fixant un point invisible, perdu au loin. Puis elle secoua vivement la tête, elle reprenait enfin esprit :
- Pardon, et je suis désolé pour ce qui t'es arrivée.

La maudite avait l'impression de retrouver une maison, une vie certainement oublier, elle se revoyait sur un canapé rouge, sublime, habillé comme une princesse, avec un chat dans ses bras. Elle se rappelle de son nom : Mistigri. Mais comment se rappelle t-elle d'un passé qu'elle n'a pas connu ? Un passé douloureux n'est pas celui qu'elle venait de s'imaginer. Elle marcha, entra dans l'eau, juste les pieds. L'eau était froide.